Fiche de Wyatt Spencer

Bip Bip Bip, et voilà, c'est repartit pour une journée monotone, ça devient presque énervant à la fin ... Toujours faire les même chose, se réveiller à la même heure, toujours voir les mêmes personnes. Bref, ce train train quotidien commence sérieusement à me taper sur le système ... Mais bon, il faut faire des étude pour réussir dans la vie, et ma mère aurait voulut que je fasse cela. Je me levais de mon lit, certes, très difficilement. J'enfilais un pantalon, puis me dirigeais jusqu'à la cuisine pour prendre un bon petit déjeuner. J'ouvris plusieurs tiroir, à la recherche de quelque chose à me mettre sous la dent, mais, comme tout les matins, il n'y avait rien ... En même temps, comme je ne fais jamais les courses, le réfrigérateur ainsi que les nombreux tiroirs ne veulent pas se remplirent tout seuls. Je pris donc la seul chose qu'il me restait, c'est à dire, du lait. Je remplis mon bol à ras bord pour ensuite le mettre dans le micro-onde. En attendant que le lait chauffe, je pris une cuillère ainsi que le peu de cacao qu'il me restait. Je posais tout cela sur la table, puis, la sonnerie du micro-onde retentit. Je pris mon petit déjeuner tranquillement. Puis, ce fut l'heure d'aller en cour, le moment le plus redouter de la journée. Le plus ennuyant, mais, quand il faut y aller, faut y aller ... Je me dirigeais vers ma chambre pour m'habiller mieux que je ne l'étais à ce moment même, pris mon sac de cours, et sortit de mon dortoir. Je me dirigeais vers le campus, puis, je m'assis près d'un arbre en attendant le moment où la cloche sonnerait le début des cours. J'appuyais ma tête contre le tronc, tout en réfléchissant à de choses diverses. Le sujet qui trottais le plus dans ma tête était ma mère ... Je me demandais ce qu'elle penserait de moi si elle était encore là ... Mais, je ne pus m'attarder sur le sujet, la sonnerie retentit, je pris donc le chemin de ma première heure de cours, ce fut l'espagnole, et oui, tout les vendredi matin c'est Espagnole ... La prof est tellement ennuyeuse que je rattrape mes nuits sur ma table pendant qu'elle parle, parle, et parle encore. De toute façon, elle ne s'intéresse pas à moi. Cette heure passa rapidement, surement parce que je m'étais assoupis. Ou peut-être parce que je savais qu'après, j'allais en cours d'Anglais. J'adore cette matière, et le professeur est tout simplement génial. J'entrais dans sa classe, et comme à mon habitude, je participa beaucoup. J'étais la tête de ma classe en Anglais, certaines personnes me jalousais, d'autres, pas. Puis se fut le moment d'aller au deux heures de S.V.T. Les deux heures qui nous séparait de la pause de midi. Les deux heures le plus infernales quoi. Je regardais ma montre toutes les deux minutes, en espérant que le temps passe plus vite. Mais au contraire, il ralentissait. Je n'écoutais même pas ce que la prof disait, de toute façon, j'avais déjà fais le chapitre que nous étudions dans mon ancien internat, donc, pour moi, pas besoin de tout revoir. Je restais donc sur ma chaise, inactif, attendant le moment fatidique où l'horloge sonnerait midi. Il était pour l'instant onze heure cinquante-huit, je sentais que l'heure était proche, et ce fut à ce moment là, que la cloche sonna, mais je restais sur ma chaise, j'étais perdu dans mes pensées, c'est au moment où la prof me dit " Josh, c'est l'heure de sortir, bon appétit " que je réalisais que j'avais eu une absence, j'exécutais les ordres de Mme Goodman. Et sortis de la salle de classe. Je retournais dans le cour. Mais à ce moment là, une envie de prendre des substances illicite s'empara de mon esprit. Je me dirigea donc dans l'enceinte du collège. cherchant un endroit où personne ne remarquerait ce que je faisais. Je vis une petite porte, j'entrais, c'était un petit placard, où était stockés divers produits d'entretiens, il semblait abandonné, car il y avait beaucoup de poussière un peu partout. J'allumais donc la lumière, me mis dans un coin de ce placard, et commença mon affaire. Je sortis de ma poche un sachet de cocaïne. Je me fis quelques rails. J'étais en extase, seul dans un placard. Personne ne pouvais me déranger.

Je le connais, puisque je l'ai créé !